Le destin c’est les choses qui arrivent lorsque on s y attend le moins . Ma relation avec lotfi etait magnifique .
On preparait notre memoire de fin detudes . Un jour le soir environs 19h jetais chez moi dans la chambre entrain d’ajouter les dernieres touches a cette derniere . Lorsqu’il m’appelle : Lui : wesh boucherati . Moi : salut mon amour Lui :comment vas tu ? Moi : hamdoulleh ca va . A cet instant mani debarque . Je ne savais plus quoi faire.je continue a lui parler en tant que sara . Moi : wesh raki diri sara . Lui : saha ya rebi welit tafla douk . Moi : haha ana gana je mennuie Jetais tres mal alaise . Mani me regardait »taa rouhi berk ; rani faykatlek » Lui : wesh dakhlou alik wekil je raccroche ? Mani : hatih ! En sapprochant de moi . Moi : quoi ? Mani je parle a sara . Mani : koutlek jibih .
Je voulais que la tere tanftah w tablâani .jallais racceocher elle me prend le telephone : Mani : AllooooR ! (Elle dit allor au lieu d’allo mdr ) je priais qu’il raccroche mais non monsieur continue a lui parler comme un cinglé Mani : wesh rak labass wlidi ? Wesh rahi mimtek ? …. ehh hamdoulleh … labass ya wlidi rana maa skhana … ehh sah … rebi maak wlidi … reby yahafdek inchalah … (…et la discussion etait longue ) Je reste bouche bée je n’y croyais pas .
Ma grand mere qui parle a mon homme . Non mais je reve . Elle me donne le telephone . Je la regarde étonné. mani : ybén aakal , mais beleki benti , yatmaskhar bik ! wida nitou safiya kolilou y’ji melbéb ! moi : il le veut . mais il peut pas mazalou yakra . mani : wesh fiha l’mouhim ybiyan niytou . moi : je sais pas …
je savais que ce n’était pas le moment , on était encore jeune , on était pas encore prêt pour se marier …
le lendemain , il vient me chercher . il m’attend dans notre endroit habituel , je saute dans ses bras . lui : tu m’as trop manqué. moi : hein ? hier on était ensemble ! lui : justement ca devient une habitude de se voir tous les jours … j’avais un petit pincement au coeur , les vacances d’été approche a grand pat , je ne sais si je pourrais le voir assez souvent , il avait raison c’éest devenu une habitude de se voir tous les jours , il allait me manquait je le sentais . je lui tiens la main , lui : aujourd’hui pas de voiture . moi : d’accooord , win nrouhouu ! lui : on marchera ensemble c’est tout !
c’est tout ce que je voulais faire , lui tenir la main et aller jusqu’au bout du monde avec lui , je pouvais aller n’importe ou avec lui …
on marchait ensemble , on rigolait , pour moi on était seuls au monde , je voyais les passants sans vraiment les regarder , pour moi il n’y avait que lui ; son sourire , ses yeux , et tout ce que j’aime en lui …
moi : yal’mahboul , hier tu as parlé a ma grand mere !! t’avais pas peur pour moi :!
lui : ta grand mere hayla khir mannak , loken aaraft’ha kablek manhalbekch gaa nti !
moi : ouais ouais ! heureusement elle est gentille , loken jate ma mere twérili !
lui : wesh katlék 3liya !
moi : non rien , juste que t’es quelqu’un de bien . il me fixe , t’es sur ?
moi : oui pourquoi ?
lui : c’est tout ce qu’elle t’a dit ?
moi : ouiii je t’assure ( menteuse je voulais pas lui parler du mariage )
lui : trés bien .
on fait les boutiques , jusqu’a ce quon voit un magasin qui vent vêtements pour bébés . il me tient la main ; lui : aya nadokhlo !
moi : yal’mahbouul win ?
lui : mets tes mains dans ta poche berk w’rwahi .
j’éclate de rire , je mets mes mains dans ma poche . moi : mais pourquoi !
lui : tu ne portes pas de bague .
il me traine . on fait le tour , on regardait les vetements pour bebes , il était sérieux , tous le monde a cru qu’on allait avoir un bebe trés prochainement . j’étais morte de rire , la vendeuse nous montrait tous les vêtements qu’elle avait , toutes les nouveautés .
elle : c’est un garcon ou une fille ? lotfi me regarde , lotfi : c’est une fille déja ou un garcon ! j’éclate de rire . fi 9élbi : bouuh bahdalt’na . la vendeuse nous regardait confuse ; moi : une fille . lotfi : ah oui sah ! une fille ! la vendeuse rigole : allah yberek.
elle vient de mon coté en me montrant quelques robes vraiment MAGNIFIQUES . elle : ton mari bayan rahou miyate bel farha ! je le regarde je souris : oui ! je voulais tellement avoir une fille , je voulais tellement que ca soit vrai ,
la vendeuse me montre une trés jolie robe , dés que je la vois , je tombe amoureuse ! c’était une robe toute petite , vraiment petite , une robe de baptême et écrue avec fleurs ..
lotfi nous rejoint : wesh aajbaték celle la ! je le regarde , je lui murmure , : on est cinglés !
la vendeuse : vous avez choisis le prénom ou pas encore ! lotfi me regarde , j’essais d’étouffer mon fou rire , j’en pouvais plus .
lotfi : si c’est déja fait ! Imene ! je le regarde je fronce les sourcils , : je dis doucement : ch’koun imene ?
lotfi rigole. lotfi : aaraftha , aaraftha rah tatweswesi hahaha moi : non !!! Amira ! ma fille nsamiha Amira !
la vendeuse : trés jolie prénom . lotfi : bon on prend celle la ! je le regarde étonnée : moi fi 9élbi : lotfi mais qu’est ce qui te prend ?? la vendeuse prend la robe et l’emballe . moi : mais qu’est ce que tu fais ? ekila ambatlék sah ! lotfi : soukti madakhlich rouhék .
il l’achete . la vendeuse nous souhaite beaucoup de bonheur . je la remercie . dés que je sors ,
je le pince : lotfi : aah 9arssaték mesmouma yaw ! moi : wesh bik hbalt ? wesh dir b’la robe ! pourquoi tu l’as acheté ??
lotfi : l’bentna had la robe l’amira ! moi : awaaah t’es pas normal ntaya ! lotfi : tiens tu la garde , mets la dans ton sac , ki netzewjou w njibou une fille elle la portera .
mes yeux se remplissent de larmes , mais c’est quoi cet homme que j’ai , c’est quoi cet ange en face de moi ; suis je entrain de rêver . je n’en pouvais plus ;, j’avais envie de pleurer .
lotfi : aywelaaah , c’était juste pour te faire plaisir , makalah lébka doka .
moi : je m’accroche a son bras : je me colle a lui / n’ta bezaf hyale lotfi , nhébbék bezaf .
lotfi : ana tani nhebek matbkich berk . je rigole , je la mets dans mon sac avec amour … je me demandais si vraiment un jour j’aurais une fille »AMIRA’ et si elle pourra porter cette magnifique robe , et si surtout le papa sera mon magnifique chéri .
a ce moment la je me disais : Je t’aime lotfi , surement. Je t’aime trop, c’est évident. Les jours qui filent m’apportent indéfiniment un lot de différences, de surprises, de moments à ressentir. ce n’est qu’avec lui , que je suis aussi heureuse … avec lui c’est pas pareil , c’est différent … tout est beau … on mange , on est restés collés toute la journée il me racompagne la ou on s’est croisé , je continue mon chemin seule . je me demandais meme pas si ses sentiments étaient sincére , j’en étais sure , oui .. a ce moment la j’en étais sure … j’ouvre mon sac je jette un coup d’oeil sur la robe . je me dis oui tout ce que tu as vécu aujourd’hui bouchera était vrai